un petit bonus de Clavin et Hobbes... enjoy!
J'aime beaucoup celle-là, pour moi c'est toute l'innocence de Calvin et Hobbes, cet enthousiasme face au monde. Est-ce qu'on l'a perdu? Est-ce que c'est possible de le retrouver? En général, je n'encense pas les enfants, je ne les trouve pas plus purs et innocents que les adultes dès 2 ans. Mais quelque part, Calvin c'est encore l'enfant idéal, celui que j'aurais aimé être.
...héhéhé, sans commentaires... héhéhé....
Il y a des trésors partout! c'est une question de regard, là aussi!
C'est intéressant ça, on n'en a pas parlé! Est-ce que vous pensez que le monde suit un cours particulier, qu'il a une finalité, ou c'est une suite de hasard? hasard ou finalité? Quant à dire que nous utilisons l'histoire pour croire qu'il y a une cohérence aux événements... je vous laisse maître d'en juger!
Voilà ce que j'ai trouvé sur un site à ce propos:
André Gide, le tourmenté cristallin, a eu cette phrase sobre et limpide, dont la transparence, loin d’être signe de simplicité, laisse entrevoir dans la profondeur un mouvement subtil:
« Du jour où je parvins à me persuader que je n'avais pas besoin d'être heureux, commença d'habiter en moi le bonheur ; oui, du jour où je me persuadai que je n'avais besoin de rien pour être heureux.»
André Gide, Les Nouvelles Nourritures, NRF, 1935, Livre premier, ch. I.
Celui qui parvient, comme Hobbes, à mettre au silence la ruche mentale qui en demande toujours plus et paye pour prix de son avidité la perte du contact immédiat avec la réalité présente, celui-là sera heureux parce qu'il sera simplement là, et peut-être ne le saura-t-il pas vraiment, mais il sera éveillé à côté de celui qui se berce, douloureusement souvent, dans des rêves illusoires.
j'ai pas pu résister à l'envie de vous mettre toutes les planches sur les bonhommes de neige de Calvin, parmi mes préférées, même si il n'y a rien de spécial à en penser! ;-)